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Réalisateur sri-lankais connu pour son audace à dénoncer les difficultés économiques et les clivages culturels d’un pays déchiré par la guerre, Asoka Handagama a déjà réalisé six longs-métrages. En 2005, Letter of Fire (Aksharaya, jamais distribué en France) a été censuré par les autorités sri-lankaises. Son septième film, Ini Avan, celui qui revient, décrit avec délicatesse le malaise d’un temps de paix, quand le traumatisme d’un vain conflit imprègne et corrompt toujours les relations sociales.