Jeudi 2 et vendredi 3 avril 2009
au cinéma le Quai des Images à Loudéac (22)
Ces journées s'adressent aux exploitants et responsables d’associations liées à la diffusion, aux élus et administratifs chargés de l'action culturelle et de l'audiovisuel.
Entrée libre sur inscription
Les participants inscrits à la journée de formation auront libre accès à toutes les projections de ces journées.
au cinéma le Quai des Images à Loudéac (22)
Ces journées s'adressent aux exploitants et responsables d’associations liées à la diffusion, aux élus et administratifs chargés de l'action culturelle et de l'audiovisuel.
Entrée libre sur inscription
Les participants inscrits à la journée de formation auront libre accès à toutes les projections de ces journées.
journées organisées par l’ACOR - Association des cinémas de l'ouest pour la recherche - et le Collectif Cinéma 22 en partenariat avec le Conseil général des Côtes d'Armor, l'association Double Vue et l'UFFEJ Bretagne
et le soutien des DRAC de Basse-Normandie, Haute-Normandie, Bretagne, Centre, Pays-de-la-Loire et Poitou-Charentes
et le soutien des DRAC de Basse-Normandie, Haute-Normandie, Bretagne, Centre, Pays-de-la-Loire et Poitou-Charentes
Films montrés
| l'Exil et le royaume | Dernier maquis | Dialogue avec RAZ |
| le Vieux Barbier | l'Idiot | The Pleasure of being Robbed |
Table-ronde
Mise en œuvre d'une politique de l'action culturelle cinématographique
Table-ronde
| l'Exil et le royaume | Dernier maquis | Dialogue avec RAZ |
| le Vieux Barbier | l'Idiot | The Pleasure of being Robbed |
Table-ronde
Mise en œuvre d'une politique de l'action culturelle cinématographique
Comment les responsables des collectivités territoriales prennent-ils en compte l’action culturelle, avec quelles perspectives, dans le cadre la mise en œuvre de leur politique en faveur du cinéma et de l’audiovisuel ?
Table-ronde
Action et diffusion cutlurelle : la place des films ?
A partir de leur propre expérience, comment les artisans de l’action culturelle cinématographique et audiovisuelle définiraient-ils le portrait « d’une action culturelle exemplaire » ? Les films y tiennent-ils systématiquement une place centrale ? Jusqu’à quel point ces actions sont- elles susceptibles de représenter pour les films une alternative à une diffusion traditionnelle ? 